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Photo du rédacteurThomas Ethier

COVID-19 : Le sous-variant BA.2 fait son apparition aux TNO

Les TNO pourraient subir une augmentation du nombre de cas de COVID-19 dans les prochaines semaines. Des cas d’infections au nouveau sous-variant Omicron BA.2 ont été confirmés cette semaine à Yellowknife et dans la région du Beaufort Delta, selon ce qu’a annoncé la Santé publique dans un communiqué émis le mardi 22 mars.


La Santé publique s’attend à confirmer de nouveaux cas dans d’autres collectivités, selon l’administratrice en chef de la Santé publique, Dre Kami Kandola. Une analyse des eaux usées, effectuée le 21 mars dans la collectivité d’Inuvik aurait notamment permis d’y détecter un niveau élevé de COVID-19.


« À l’heure actuelle, rien n’indique que le sous-variant BA.2 cause des symptômes plus graves que le variant BA.1», souligne-t-on. Le sous-variant Omicron BA.2 serait toutefois environ 30 % plus contagieux que le sous-variant BA.1, qui a fait son apparition au cours des dernières semaines aux TNO.


Levée d’état d’urgence sanitaire le 1er avril

La Santé publique assure que la présence du sous-variant aux TNO « ne remet pas en question la fin de l’état d’urgence sanitaire prévue pour le 1er avril ». L’ensemble des mesures sanitaires imposées par la Santé publique seront levées à partir de cette date, incluant l’obligation de porter le masque dans les lieux publics.


On rappelle toutefois l’importance d’adopter des habitudes qui favorisent un environnement sécuritaire pour tous, spécialement pour les personnes présentant un risque élevé de complications.


La santé publique recommande « de privilégier les rassemblements à l’extérieur, de porter un masque dans les lieux publics très fréquentés et de rester à la maison quand vous ne vous sentez pas bien ou êtes malade ».


Le vaccin contre la COVID-19 serait efficace contre ces nouvelles formes. « Des preuves solides démontrent que deux doses du vaccin protègent contre les hospitalisations, mais que l’immunité conférée diminue après six mois ou plus », souligne la Dre Kandola.


Cette dernière encourage aussi les résidents admissibles à se pourvoir des doses de rappel, dans le but d’« optimiser la protection contre les complications graves, en particulier pour les personnes présentant le plus grand risque ».


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