Philippe Brûlot, directeur général de la Commission scolaire francophone (CSF), déclare que l’équipe complète peut être fière de son travail en 2008-2009. Un bel avenir attend les deux écoles.
M. Brûlot va partir en vacances le 7 juillet. Période bienvenue, selon lui, pour reprendre son souffle et son énergie après une année « lourde de travail ».
Selon le directeur de la CSF, le bilan de cette période scolaire est très positif. « Nous avons passé une année de transition et nous avons viré de cap dans la gestion administrative par la création d’un nouveau poste et par l’accent très fort mis sur la pédagogie », explique-t-il.
Il estime que les deux écoles sont promises à un bel avenir. « En cette période de récession économique, la population étudiante baisse dans les commissions scolaires des TNO sauf dans la nôtre, dit-il. Nous avons mis au point une superbe programmation pour l’an prochain et on enregistrera une hausse du nombre d’étudiants dans nos écoles pour les deux années à venir. »
L’enthousiasme du directeur général repose en grande partie sur la solidité de l’équipe. Son environnement administratif est jugé plus tonique et plus efficace. Un gros effort de communication externe a été fourni par Stéphanie Roy dans la refonte et la maintenance du site Internet de la CSF, qui propose des rubriques avec des informations mises à jour régulièrement.
S’il fait l’éloge de ce travail, il ajoute que les commissaires ont maîtrisé la gestion de dossiers judiciaires qui ont permis, notamment, d’obtenir des classes modulaires pour l’école Boréale. « Qu’on s’entende bien là-dessus, ajoute-t-il. Les modulaires sont une solution provisoire, et le gouvernement le sait autant que nous. Nous menons toujours des actions pour agrandir l’école Boréale avec des espaces définitifs alloués aux classes du secondaire, à un gymnase et un laboratoire. »
Il reste un gros dossier qui risque, selon M. Brûlot, d’être soumis à la Cour suprême du Canada, concernant l’ingérence du gouvernement des TNO dans la gestion des inscriptions.
