La lettre ouverte de la présidente de l’Association des parents francophones de Yellowknife, parue en pages 8 et 9 de l’édition du 31 janvier dernier, n’était pas une initiative du journal. Ce n’était pas non plus un courrier du lecteur. Il s’agissait d’une publicité payée par l’APFY afin d’informer les parents et le public sur la controverse entourant le mandat de l’Association. Notre seul souci par rapport à cette publicité était de s’assurer (comme pour toute publicité ou lettre des lecteurs) qu’elle ne contenait aucun propos diffamatoire ou discriminatoire.
Et le contenu là-dedans ?.
Tant pour les publicités que pour les lettres reçues pour le courrier des lecteurs, les gens peuvent écrire ce que bon leur semble en autant qu’ils ne fassent pas de diffamation ou qu’ils n’écrivent pas de propos discriminatoires. L’un et l’autre représentent un point de vue précis qui n’a rien à voir avec la façon dont le journal pourrait rendre compte d’un événement ou d’une situation. Dans un article, les journalistes s’efforcent d’interviewer les parties opposées afin de présenter les différents points de vue. L’information n’est valable que si les sources dévoilent des faits pertinents..
Cela dit, nous accueillons à bras ouverts tout courrier du lecteur et, cela va sans dire, toute publicité payante. Les lettres de nos lecteurs nous sont chères car elles rapprochent le journal du public et les publicités sont importantes pour soutenir le journal financièrement..
Sur ce, je souhaite aux parents d’avoir une bonne réunion le 19 février prochain.