Propulsé dans la diversité culturelle de Lüneburg après une enfance marquée par la perte et l’apprentissage familial, Bach s’initie à l’orgue, au violon et aux subtilités du contrepoint.

Au cœur du baroque allemand, Bach incarne la fusion parfaite entre science musicale et spiritualité.

Dans Les Quatre Saisons, Antonio Vivaldi fait dialoguer la nature et la musique à travers quatre concertos peignant les cycles du temps avec une précision poétique.

Jean‑Baptiste Lully, figure clé de la musique du Roi Soleil, façonne avec Molière et Beauchamp l’art de la comédie‑ballet avant d’imposer le modèle de l’opéra français.

Jean-Baptiste Lully, figure majeure du baroque en France, dynamise la polyphonie instrumentale et vocale par son génie musical et ses liens étroits avec la cour du roi Louis XIV.

À la croisée de la Renaissance et du Baroque, la science musicale s’affirme comme un art de la raison, où la physique du son façonne les harmonies et donne naissance au contrepoint.

Le contrepoint, colonne vertébrale de la musique chorale de la Renaissance, est magistralement illustré par Palestrina et son Agnus Dei.

La naissance du contrepoint, comme méthode d’écriture musicale, accompagne l’évolution du chant grégorien, d’abord monodique et sans harmonie.

Le contrepoint, avant l’essor de la tonalité et du modernisme, s’est imposé comme une référence essentielle de l’écriture musicale, de Palestrina à Bach.

Tons, demi-tons et gammes structurent depuis des siècles la musique occidentale. Du chant grégorien au piano-forte, ces fondations ont permis l’essor du contrepoint et de l’harmonie.