
Arsenic à Giant Mine La réflexion collective débute
L’arsenic restera à Yellowknife pendant des années, la population devant choisir entre le laisser sous terre ou le ramener à la surface, selon une consultation publique récente.
L’arsenic restera à Yellowknife pendant des années, la population devant choisir entre le laisser sous terre ou le ramener à la surface, selon une consultation publique récente.
Les changements climatiques affectent les communautés du Nord avec la disparition progressive de l’île de Tuk et la détérioration des infrastructures, malgré la ratification du Protocole de Kyoto.
La ratification du protocole de Kyoto suscite des débats au Canada, avec un plan d’action pour réduire les émissions de GES sans impacter l’économie de manière significative.
SRK Consulting déposera la semaine prochaine un rapport avec deux recommandations sur la gestion des 237 000 tonnes d’arsenic à la mine Giant au Canada.
Le nombre de chasseurs résidant aux T.N.-O. diminue de 3 % par an, avec une baisse particulièrement notable chez les non-autochtones, malgré une augmentation de la population.
La Cour suprême des T.N.-O. a décidé que la mine CanTung devra subir une évaluation des impacts environnementaux, malgré les objections de la compagnie minière.
Laisser le moteur tourner inutilement nuit à l’environnement, à la santé et au portefeuille, selon Ecology North, qui encourage la réduction de la marche au ralenti.
Le ministère des Affaires indiennes et du Nord Canada peine à assainir les mines contaminées dans le Nord en raison du manque de financement et de ressources humaines.
Les Territoires du Nord-Ouest étudient le plan fédéral sur la réduction des gaz à effet de serre avant de l’accepter, soulevant des préoccupations sur les impacts potentiels sur des projets locaux.
S’opposer à l’Accord de Kyoto, c’est ignorer les dangers du changement climatique et privilégier les intérêts à court terme au détriment de l’avenir de la planète et des générations futures.