Un court article apparaît en page 6 au sujet des tendances Internet pour L’Aquilon. Plusieurs aspects intéressants y figurent. Parlons tout d’abord de la tendance technologique des appareils mobiles.
Plus besoin d’un ordinateur pour se tenir au courant de l’actualité. Si vous êtes un peu comme moi, la première chose que je fais c’est de démarrer mon iPad et de vérifier ce qui se passe d’important au Canada (Globe & Mail) et dans ma province d’origine (Cyberpresse). Les deux géants de l’information imprimée et Internet ont tous deux développé des applications Web mobiles, quelque chose qui n’est cependant pas à notre portée financièrement. Malgré tout, en naviguant avec un simple navigateur Internet, il est possible de vous rendre sur www.aquilon.nt.ca peu importe où vous vous trouvez.
L’autre aspect intéressant, c’est que la majorité de nos visiteurs proviennent de l’extérieur des TNO. Entre 12 % et 15 % seulement de nos visiteurs proviennent des TNO. Au fait, 71 % des visiteurs proviennent tout de même du Canada alors que 23 % proviennent d’Europe.
Il ne faut pas s’étonner que la majorité des visiteurs vienne de l’extérieur des TNO. En effet, les francophones et francophiles des TNO qui désirent recevoir le journal (version papier ou version pdf) n’ont qu’à en faire la demande et le service est gratuit en vertu d’une entente avec les associations francophones des TNO et la Fédération franco-ténoise. Disons que c’est moins tentant de se rendre sur le site Internet de L’Aquilon sachant que le journal sera dans la boîte aux lettres ou dans la boîte de réception des courriels (version disponible également partout dans le monde).
Malgré cela, le journal L’Aquilon continue d’offrir prioritairement une information locale à prédominance francophone. Bien qu’on ait autant de lecteurs de l’extérieur, on n’oublie jamais que le journal appartient à la communauté francophone des TNO et que c’est elle qui détermine les sujets d’intérêt tel que déterminé par le sondage réalisé il y a deux ans.
C’est flatteur de voir l’intérêt suscité un peu partout sur la planète, mais il ne faut jamais oublier notre origine.