Dans le par et pour, c’est l’idée de contribution qui est important.

La contribution des entités par qui et pour qui les programmes, les actions ou les initiatives sont mis en place. Souvent appliqué pour rejoindre la jeunesse, ce par et pour a besoin de l’opinion, de la participation… de la contribution des jeunes pour savoir ce qu’ils veulent et pour qu’ils soient actifs dans cette démarche.

C’est un donnant-donnant ou gagnant-gagnant entre les parties impliquées. Donner des outils et des moyens adéquats à des personnes qui veulent faire une différence à leur niveau sera toujours plus efficace que de leur dire c’est ça qui est ça et débrouillez-vous avec ce qu’on a décidé pour vous.

La même chose devrait se voir lorsque l’on parle média communautaire et représentation des communautés isolées. Les organismes à but non lucratif que sont les associations, fédérations ou médias franco-ténois ont beau participer à des consultations, des sondages et des comités, le par et pour n’a de raison que dans le discours.

Si l’annonce du plan d’action 2018-2023 est la première mouture du plan d’action où le public et les organismes obtiennent une idée d’où vont les montants annoncés, les mécanismes par lesquels ces fonds atteindront les besoins exprimés restent dans le flou.

À savoir si ces besoins seront finalement comblés…