172 déversements Environnement
En 1999, la plupart des déversements au Nunavut étaient liés à des matières dangereuses, principalement des produits pétroliers, causés par des défaillances mécaniques et des erreurs humaines.
En 1999, la plupart des déversements au Nunavut étaient liés à des matières dangereuses, principalement des produits pétroliers, causés par des défaillances mécaniques et des erreurs humaines.
La qualité de l’air à Yellowknife s’est améliorée depuis la fermeture de la Giant Mine, mais la présence de poussière et d’arsenic reste préoccupante pour la santé des résidents.
Glen Stephens, spécialiste en contaminants, mène des recherches essentielles mais peu remarquées pour comprendre et limiter l’impact des substances nocives dans l’environnement nordique.
Impact des pesticides, tels que le DDT, sur l’Arctique canadien à partir de leur utilisation ailleurs dans le monde, mettant en danger la santé animale et humaine.
La WKSS, projet de recherche sur le développement dans l’ouest du Kitikmeot, prend fin en 2001 après cinq ans, avec des discussions sur sa continuation.
La vitesse du vent varie en fonction de la hauteur, influençant non seulement la météo mais aussi la sécurité des infrastructures et des travailleurs, notamment dans les régions nordiques.
Un atelier sur le refroidissement éolien a réuni des experts pour expliquer comment le vent peut rapidement modifier la sensation de froid, en influençant la température ressentie par la peau.
L’avènement de l’OTEVM dans la Vallée du Mackenzie assure une gouvernance partagée entre Autochtones et gouvernements pour un développement durable.
Le programme vise à assurer une exploitation future des ressources dans le Nord canadien respectueuse de l’environnement et des communautés autochtones.
DDMI attend toujours des permis avant de commencer la construction de sa mine de diamants, incluant un dépôt de sécurité de 175 millions de dollars pour l’utilisation de l’eau du lac de Gras.