Une étape de franchie Système judiciaire du Nunavut
La cour de justice du Nunavut, une initiative soutenue par les résidents, sera établie le 1er avril 1999 pour simplifier le système judiciaire et renforcer la confiance du public.
La cour de justice du Nunavut, une initiative soutenue par les résidents, sera établie le 1er avril 1999 pour simplifier le système judiciaire et renforcer la confiance du public.
À Iqaluit, la formation du nouveau cabinet du gouvernement du Nunavut a été marquée par la nomination de Paul Okalik comme leader, avec la présence de Bernard Derome pour un reportage spécial.
La création du Nunavut en 1999 marque le début d’une nouvelle ère pour le territoire, avec des défis démographiques et des négociations politiques en cours pour façonner son avenir.
Le Nunavut, souvent dépeint comme un désastre économique et social, cache en réalité un potentiel minier prometteur avec des mines de grande envergure et des initiatives locales de prospection.
Les électeurs de l’Arctique de l’Est ont massivement voté pour élire les membres de la première Assemblée Législative du Nunavut.
Les dirigeants dénés et métis du Sahtu réclament la démission de Jim Antoine et Stephen Kakfwi pour avoir négocié sans consulter la gestion des ressources naturelles avec Ottawa.
Le premier ministre des Territoires du Nord-Ouest, Jim Antoine, expose son plan pour l’avenir économique et social lors d’un discours télévisé.
Le ministre Trevor Harding du Yukon souligne l’importance d’une politique de parti pour assurer la responsabilité et la transparence gouvernementales, rejetant le modèle de consensus jugé inefficace.
Engagé en politique au Nunavut, Edward Walter Picco vise à améliorer la transparence des contrats publics, diversifier l’économie locale et soutenir l’établissement d’une école francophone à Iqaluit.
À Iqaluit, l’hiver calme est propice à l’action discrète des neuf candidats politiques, dont Matthew Spence, prônant participation et développement économique local.